Les pratiques utilisant conjointement nouer et brûler s’appuieront sur l’emploi du sperme recueilli sur la femme après un rapport sexuel avec son mari. Dans un premier temps, on utilise un écheveau de soie que l’on se passe sur le sexe pour l’imprégner de son sperme, puis, on fend une petite branche et on dépose cet écheveau dans l’entaille tout en disant :
Ce n’est pas la branchette que je fends
Mais c’est le cœur de mon mari
Qu’il ne puisse plus se passer de moi
Qu’il en éclate et qu’il en crève.
Comme la branchette en son milieu est ceinte
Comme le dos par la sueur est échauffé
Que le cœur de mon mari en lui se consume
Pour qu’il ne puisse vivre sans moi.
Enfin, la branchette est jetée au feu avec les fils de soie :
Cum arde focu’n vatrÄ
Ći vatra ie arsÄ de foc
AĆa Ći inima lui sÄ ardÄ în iel
SÄ nu, mai poatÄ sÄ stea în loc
SÄ crape Ći sÄ plezneascÄ
De mine sÄ nu sÄ poatÄ lipsî.
Cum se lipeĆte pizda de cur
Ći curu’ de pizdÄ
Cînd curu’ s’o desparte de pizdÄ
Ći pizda s’o desparte de cur
Atunci sÄ se depÄrteze iel de mine
SÄ tacÄ, sÄ amuĆŁascÄ
Cum tace pizda Ći curu’
Ći sÄ nu mai poatÄ niciodatÄ
Cu ia sÄ vorbeascÄ de rÄu despre mine
Comme le feu brûle dans l’âtre
Et l’âtre est brûlé par le feu
Que son cœur se consume en lui
Qu’il ne puisse tenir en place
Qu’il éclate et qu’il crève
Qu’il ne puisse se passer de moi.
Comme le con s’attache au cul
Quand le cul se séparera du con
Et le con se séparera du cul
Alors seulement qu’il s’éloigne de moi
Qu’il se taise, qu’il perde la voix
Comme se taisent le con et le cul
Et qu’il ne puisse jamais
Avec elle médire à mon sujet.µ